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Sois belle et laisse-moi parler ! Attitude très masculine

Les 2 élégances sont additionnelles dans les stéréotypes misogynes. La distinction rigoureuse entre le charme physique de la femme et le charme spirituel des hommes peut, en ce cas, aboutir pour aller à la mauvaise imitation d’attitude.

Le charme : une attitude séductrice

Même chez celle qui protège le respect de son sexe, on peut dire que c’est pour cela qu’elles ne séduisent les hommes que par leur charme. La gente féminine prépare sa physionomie, plutôt que de travailler son esprit. Séduisant la gente féminine par l’intelligence, par les valeurs de moralité et romanesques, les hommes préparent leur esprit et ne préparent pas leur charme. Ceci a la vertu de la transparence. La gente féminine haït tant la vigueur musculaire des hommes que l’homme haït la force spirituelle de la gente féminine. Encore que, ces 2 aversions soient fréquemment cachées par l’instruction, elles révèlent le dégoût des fluides du même nom.

Le savoir exprimé

Il ne s’agit aucunement, pour la conceptrice de la « Société Néo-Sophiste » et administratrice de la temporaire Revue qui traite des sciences de la gente féminine, de prouver l’écart du savoir attribué aux femmes. À l’opposé, elle se rebiffe à l’encontre du mépris de l’homme… Envieux de la totale beauté de la femme, de laisser son épouse, parvenir aux Facultés, à la connaissance. À l’encontre, son attitude expérimentée pour gêner les femmes dans leur développement montante.

Le spirituel, l’atout féminin

Le merveilleux sexe dispose de valeurs spirituelles qui n’existent pas chez le sexe fort… Et c’est la convoitise du 2ème qui défend ce secteur au 1er. Même pour les femmes qui le regrettent, le charme de l’homme, et de ce fait sa prestance ou son élégance, sont d’une manière tout à fait sûre d’une nature spirituelle. Dans le meilleur des cas, pourra-t-on s’opposer à ce constat. Dans cette situation, l’apparence du gandin, avec son sac en bandoulière, qui représente l’élégance des hommes au XIXe siècle, va se transformer pendant le XXe. Plus qu’une élégance d’apparence, il montre une harmonie de l’existence… Qui met l’accentuation sur le significatif plus que sur l’exprimé, sur le rituel plus que sur le pouvoir.

Le regard envers sa propre personne

Les relations qu’il nourrit avec sa personne et avec la société communautaire dans laquelle il vit, correspondent à des règlements qu’il s’imagine ou qu’il subit… Et dont le respect finira par gagner plus d’influence que la vérité des attitudes. On y a vu de l’égoïsme sur le plan personnel, de l’égocentrisme sur le plan de la société. Car le gandin ne subsiste que par les regards qu’il obtient, tout débute par celui de sa psyché. C’est de préférence l’apparition de l’égoïsme au XVIIIe siècle qui lui a fait prendre. Après la Révolution française, une position avantagée dans la communauté de l’Europe. Proche de l’amant des Muses-mage, du comédien, du chanteur «vagabond», de l’amant des Muses détesté, il certifie la supériorité du merveilleux sur l’indispensable, de la physionomie sur la pensée.

Le règne du gandin

S’il s’enfonce dans sa vanité à gouverner la communauté à la manière d’un Brummell, à la repenser en tant que Balzac… Il s’isole dans la tromperie d’une société à sa taille, où on a la possibilité de s’exiler… Tous ceux qui décourage et écœure l’existence de tous les jours. Baudelaire, Barbey d’Aurevilly, Huysmans, Bourget, Villiers de l’Isle-Adam sont révélateurs de cette partie de population constituée de gandins dégoûtés qui règnent sur la fin du siècle. Et cela ne manque pas de distinction. Les affûtiaux sont pour eux un symbole de rébellion. Ils n’étaient que fantaisie pour les petits nobles… Comme ils le sont demeurés chez la gente féminine dans les stéréotypes phallocrates. L’indispensable est un des tests de l’élégance moderne… Et une théorie de l’existence qui se tient devant la communauté matérialiste industrialisée.

Le grands penseurs Grecs toujours au goût du jour

Vieille référence de cette attitude, exprimée depuis Socrate, qui trouvait dans le charme la concordance de l’allure à l’emploi. Ensuite, quand l’allure sera indispensable, naitra l’élégance. George H. Darwin, fils de l’illustre Charles, a fait prendre à cette référence une garantie qui traite des sciences… En mettant en balance le développement de l’habit à celui du règne animal. Projetant la préférence innée sur l’historique des mentalités, il raconte les changements de l’habit par 2 manifestations additionnelles. La transposition aux travaux de l’homme et la passion pour les hommes pour l’originalité. De cette manière, les passementeries qui donnent la possibilité d’attacher la mitre épiscopale à la tête (transposition du travail) se transforment en fanons, ces passementeries descendant sur le cou des évêques (élégance), des accessoires vestigiaux identiques à la vessie natatoire du poisson. C’est également l’idée de Paul Aveneau de La Grancière, technicien des ornements antédiluviens et celtes.